Medienmitteilung

Keine Umverteilungsübung auf dem Buckel der Chrampfenden! / Pas d’exercice de redistribution sur le dos de ceux qui travaillent dur !

Die SVP Kanton Bern und der Bund der Steuerzahler (BDS) eröffnen heute offiziell den Ab­stimmungskampf gegen die Erhöhung der Motorfahrzeugsteuer. Die Kampagnenverantwortlichen sind zuversichtlich, dass ihre Argumente auf ebenso fruchtbaren Boden fallen werden wie bereits bei der Unterschriftensammlung. Letztlich sind sich alle einig: Die geplante Erhöhung der Motorfahrzeugsteuern und die damit verbundene Umverteilung von Autofahrenden zu nicht Autofahrenden bringt nur Ungerechtigkeiten und bürokratischen Aufwand!

L’UDC du canton de Berne et l’Union des contribuables (UCB) lancent aujourd’hui officiellement la campagne de votation contre l’augmentation de l’impôt sur les véhicules à moteur. Les responsables de la campagne sont persuadés que leurs arguments trouveront un terrain aussi fertile que la collecte de signatures. En fin de compte, tout le monde est d’accord : l’augmentation prévue des taxes sur les véhicules à moteur et la redistribution des automobilistes vers les non-automobilistes qui en découle n’apportent que des injustices et des lourdeurs bureaucratiques !

Bereits zum dritten Mal innert weniger Jahre versucht das Kantonsparlament, die Motorfahrzeugsteuer zu erhöhen. Schon nach kurzem Hinsehen wird klar: Die Revision hat, anders als von den Befürwortern behauptet, nichts zu tun mit Klimaschutz, denn auch Elektro- und Hybridfahrzeuge sollen mehr bezahlen. Sie ist deshalb eine reine Steuererhöhungsvorlage. Für Parteipräsident Manfred Bühler ist die Vorlage völlig verfehlt und muss abgelehnt werden. «Allein schon die Kombination der Erhöhung der Motorfahrzeugsteuer mit einer Rückvergütung der Einkommens­steuer ist eine Fehlkonstruktion. Da werden Dinge verknüpft, die nicht zusammengehören, leider ein zunehmendes Phänomen in der Politik.»

Für die Vertreterinnen und Vertreter der SIK des Grossen Rates war bereits in der Kommissionsdebatte klar, dass das Stimmvolk hier das letzte Wort haben muss. Grossrätin Andrea Gschwend erklärt: «Das heutige Steuersystem wurde im Kanton Bern zweimal durch das Stimmvolk bestätigt.» Einmal mehr ist der ländliche Raum am stärksten betroffen, weil man dort auf ein Allradfahrzeug angewiesen ist. Daher engagieren sich auch die Vertreter aus dem ländlichen Raum besonders. Grossrat Etienne Klopfenstein weist auf die topographischen Verhältnisse im Berner Jura hin. «Bei uns sind die Strassen nicht so ausgebaut, da braucht man starke Fahrzeuge». Auch für Grossrat Werner Moser ist klar: «Bei uns gibt es nicht so einen ausgebauten ÖV wie in der Stadt und wenn Schnee liegt, ist oft kein Durchkommen mehr mit einem normalen Fahrzeug.» Die Vorlage bestraft die Einwohner des ländlichen Raums für etwas, wofür sie nichts können. «Die Vorlage bringt keinen Nutzen für das Klima, sondern ist eine reine Steuererhöhungsvorlage,» unterstreicht auch Grossrat Mathias Müller.

Die dafür in Aussicht gestellte Steuererleichterung ist nur auf den ersten Blick noch verlockend. Die Realität ist ernüchternd. Die Autofahrer, Gewerbler und Bauern, die die höheren Steuern hauptsächlich zu bezahlen haben und ein eher geringes Einkommen haben, werden von der Umverteilung primär die Kosten spüren. Aus Sicht von Nationalrat Erich Hess könnte man der Vorlage ganz gut den Namen «Steuergeschenke für Reiche» geben, denn je mehr man verdient, desto mehr erhält man zurück. Aber auch für Gutverdienende werden es nur ein paar Franken sein. Im Gegenzug werden wir aber mit einer Teuerung zu kämpfen haben, mahnt alt Nationalrat Thomas Fuchs vom Bund der Steuerzahler: «Wenn das Gewerbe mehr zahlen muss für die Lieferwagen, wird sich das auf die aktuell ohnehin steigenden Preise noch einmal auswirken und das spüren alle im Portemonnaie, auf dem Land und in der Stadt»

Die Kampagne setzt primär auf die wilde Plakatierung sowie Heckscheiben- und Fahrzeugkleber. Grossrat Thomas Knutti will insbesondere die zahlreichen Auto- und Töff-Fahrenden im Kanton möglichst direkt ansprechen. An Standaktionen sollen Bernerinnen und Berner darauf aufmerksam gemacht werden, dass nebst den vier eidgenössischen und in den Medien viel diskutierten Vorlagen auch noch eine wichtige und alle direkt betreffende kantonale Vorlage ansteht.

C’est déjà la troisième fois en quelques années que le parlement cantonal tente d’augmenter l’impôt sur les véhicules à moteur. Il suffit d’y jeter un coup d’œil pour s’apercevoir que, contrairement à ce que prétendent ses partisans, cette révision n’a rien à voir avec la protection du climat, puisque les véhicules électriques et hybrides doivent eux aussi payer plus. Il s’agit donc d’un pur projet d’augmentation des impôts. Pour le président du parti Manfred Bühler, ce projet est totalement erroné et doit être rejeté. « Rien que la combinaison de l’augmentation de l’impôt sur les véhicules à moteur avec un remboursement de l’impôt sur le revenu est une construction erronée. On associe des choses qui ne vont pas ensemble, c’est malheureusement un phénomène croissant en politique ».

Pour les représentants de la CSI du Grand Conseil, il était déjà clair lors des débats en commission que les électeurs devaient avoir le dernier mot en la matière. La députée Andrea Gschwend explique : « Le système fiscal actuel a été confirmé deux fois par les électeurs dans le canton de Berne ». Une fois de plus, ce sont les régions rurales qui sont les plus touchées, car on y dépend d’un véhicule à quatre roues motrices. C’est pourquoi les représentants des régions rurales s’engagent particulièrement. Le député Etienne Klopfenstein attire l’attention sur les conditions topographiques du Jura bernois. « Chez nous, les routes ne sont pas aussi développées, il faut donc des véhicules puissants ». Pour le député Werner Moser également, il est clair que « chez nous, les transports publics ne sont pas aussi développés qu’en ville et lorsqu’il y a de la neige, il est souvent impossible de passer avec un véhicule normal ». Le projet pénalise les habitants des zones rurales pour quelque chose dont ils ne peuvent rien faire. « De plus, ce projet n’est pas un projet climatique, mais un pur projet d’augmentation des impôts », souligne le député Mathias Müller.

L’allègement fiscal promis en contrepartie n’est encore séduisant qu’à première vue. La réalité est décevante. Les automobilistes, les artisans et les agriculteurs, qui doivent principalement payer les impôts plus élevés et qui ont un revenu plutôt faible, ne ressentiront que les coûts de la redistribution. Du point de vue du conseiller national Erich Hess, on pourrait très bien donner au projet le nom de « cadeaux fiscaux pour les riches », car plus on gagne, plus on reçoit en retour. Mais même pour ceux qui gagnent bien leur vie, il ne s’agira que de quelques francs. Mais en contrepartie, nous devrons faire face à un renchérissement, avertit l’ancien conseiller national Thomas Fuchs de la Fédération des contribuables : « Si l’artisanat doit payer plus pour les camionnettes, cela se répercutera encore une fois sur les prix actuellement déjà en hausse et tout le monde le ressentira dans son porte-monnaie, à la campagne comme en ville ».

La campagne mise en premier lieu sur l’affichage sauvage ainsi que sur les autocollants pour vitres arrière et véhicules. Le député Thomas Knutti veut notamment s’adresser le plus directement possible aux nombreux automobilistes et motocyclistes du canton. Il s’agit d’attirer l’attention des Bernoises et des Bernois sur le fait qu’en plus des quatre objets fédéraux dont on parle beaucoup dans les médias, il y a encore un objet cantonal important qui concerne directement tout le monde.

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